Mes premiers sujets de recherche portaient sur l’océanographie physique mais se sont étendus aux interactions océan/atmosphère en général. Mes recherches portent maintenant sur la compréhension de la variabilité naturelle et des changements à long terme du climat du Pacifique ainsi que sur les événements extrêmes tels que les cyclones, les vagues de chaleur, les précipitations extrêmes et les sécheresses. Un deuxième domaine d’intérêt concerne les effets du climat sur les écosystèmes marins et terrestres tels que les moustiques et les maladies vectorielles associées (par exemple la dengue).

Chercheur en climatologie avec un solide sens de la conceptualisation d’idées de recherche nouvelles et originales, de l’analyse de données et du diagnostic/expérimentation de modèles, Vishnu travaille actuellement en tant que chercheur postdoctoral à Météo-France / IRD-France, Toulouse, France, afin d’établir une projection climatique fiable à l’aide du modèle de réduction d’échelle dynamique (ALADIN) en supprimant le biais sec connu sur la région du sud-ouest du Pacifique dans le cadre du projet CLIPSSA.

Plus d’une décennie de recherche sur la météorologie tropicale, Vishnu se concentre principalement sur les variations et la dynamique des tempêtes cycloniques et leur lien avec les extrêmes quotidiens et les précipitations saisonnières. Il a occupé divers postes dans divers instituts internationaux et il a obtenu son doctorat dans le domaine des systèmes d’échelle synoptique de la mousson asiatique. Pour plus de détails, consultez son site Web et Google Scholar .

Physicien de formation, mon expertise principale porte sur l’océanographie physique et la dynamique du climat tropical, avec un focus sur les océans Pacifique et Indien tropicaux, notamment sur leurs interactions et sur la Polynésie française. Mes objectifs sont de mieux comprendre la variabilité du système couplé océan-atmosphère tropical et sa réponse au réchauffement climatique, en combinant l’analyse statistique (des données in situ, satellite et numériques) avec des expériences de modélisation.

Frédéric Atger est météorologue, ingénieur de l’Ecole nationale de la météorologie, docteur en sciences de l’atmosphère et titulaire d’une maîtrise de psychologie clinique et de psychologie des organisations. Il a d’abord exercé le beau et dur métier de prévisionniste, pendant près de 10 ans au début de sa carrière à Météo-France. Après un séjour au Centre européen pour les prévisions météorologiques à moyen terme pendant les années 1990, il s’est consacré à la recherche sur l’évaluation des systèmes de prévision probabiliste, jusqu’au milieu des années 2000. Il a par la suite occupé plusieurs postes d’encadrement, et a notamment dirigé les services de Météo-France dans les régions méditerranéennes. Il est depuis janvier 2024 directeur de Météo-France en Nouvelle-Calédonie et à Wallis et Futuna, et responsable à ce titre du Service de la météorologie du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie.

• le contrôle de l’ensemble des données météorologiques mesurées sur les deux territoires ;
• la récupération et la conservation pérenne des documents météorologiques passés, dont les plus anciens remontent au XIXècle.
• le suivi du climat, avec tous les mois un bulletin sur les tendances saisonnières

Victoire LAURENT est responsable du service de la climatologie à la Direction Interrégionale de Météo-France en Polynésie française. Ingénieur Divisionnaire des Travaux de la Météorologie, elle est experte en météorologie tropicale et climatologie dynamique dans la région du Pacifique Sud. Elle participe et intervient dans des forums et colloques au niveau national et international sur les sujets concernant le climat, la prévision saisonnière et le changement climatique en Polynésie française. Sa contribution au projet CLIPSSA porte sur la mise à disposition de nouvelles données du climat futur et l’analyse des impacts du changement climatique dans différents secteurs d’activités.

Amarys CASNIN travaille au Centre Nationale de Recherches Météorologiques. Elle a intégré l’Ecole Nationale de la Météorologie en 2018 car elle s’intéressait à l’environnement et aux questions climatiques. A la fin de ces 3 années, elle a choisi de continuer sa formation en commençant un doctorat sur la simulation haute résolution du climat des Îles du Vent (Polynésie française), afin d’étudier les processus physiques qui contrôlent le climat de ces îles.

Agathe DROUIN dirige le département « études et modélisation pour l’adaptation » (EMA), de la Direction de la climatologie et des services climatiques de Météo France. Ce département a pour mission de concevoir et mettre en œuvre des services pour l’adaptation au changement climatique avec les différents secteurs dans le domaine public et privé. Le département EMA intègre également une activité amont centrée sur la modélisation : modélisation climatique régionale, descente d’échelle ou modélisation d’impact hydro-climatique .
À ce titre Agathe Drouin coordonne les activités de régionalisation climatique outremer à Météo France et son équipe contribue au projet CLIPSSA pour la mise en oeuvre des modèles de climat sur le domaine pacifique.

Chercheur CNRS affecté au Centre National de Recherches Météorologiques, je mène des recherches sur la variabilité atmosphérique tropicale. Je m’intéresse en général à l’interaction entre la circulation atmosphérique et les processus diabatiques: formation de nuages, rayonnement, mélange turbulent, et j’étudie comment cette interaction crée des phénomènes météorologiques tropicaux à de multiples échelles, du local au planétaire. Je m’intéresse en particulier au climat des îles tropicales.

Catherine SABINOT (PhD, MNHN-Paris) est ethnoécologue et anthropologue à l’Institut de recherche pour le développement (IRD) au sein de l’UMR Espace pour le développement (IRD-UR-UA-UG-UM2). Elle coordonne le groupe de recherche LADIVA (Littoraux, îles et archipels – Vulnérabilité, adaptation, viabilité des territoires insulaires et côtiers). Ses recherches d’abord menées sur les côtes américaines et africaines en développant des approches comparatives, se poursuivent depuis dix ans sur les littoraux et les îles de la région indopacifique. Elle y étudie les transformations socio-environnementales en cours ainsi que les processus d’adaptation et de négociation des savoirs, normes et valeurs dans des contextes où savoirs locaux, savoirs institutionnels et savoirs scientifiques s’entremêlent, se conjuguent ou se confrontent. Catherine Sabinot est experte au sein de l’IPBES depuis 2019.

Gilbert DAVID est géographe de la mer et des îles, directeur de recherche à l’IRD, UMR Espace-Dev, co-animateur du groupe de recherche LADIVA (Littoraux, îles et Archipels, DIversité, vulnérabilité, Viabilité, Adaptabilité) et membre du comité MASMA (MArine Science for Management) de la WIOMSA (Western Indian Ocean Marine Science Association). Sa thèse (1991, université de Bretagne Occidentale) porte sur la place de la pêche récifale dans la sécurité alimentaire de Vanuatu, son HDR (2005, Paris IV Sorbonne) sur les îles et rivages de l’Océanie et de la partie occidentale de l’océan Indien. Depuis 1997, il travaille sur les aires marines protégées (AMP) et la gestion intégrée des territoires littoraux et insulaires. Basé à la maison de la télédétection de Montpellier, il a conduit ces dernières années des projets de recherche sur les services écosystémiques, sur le dialogue science-décideurs dans la GIZC et la gouvernance des AMP, sur le système Pêche. De 2017 à 2022, il a coordonné l’expertise scientifique collective pilotée par l’IRD sur la pêche artisanale en Haïti en étroite collaboration avec la direction des pêches et de l’aquaculture du Ministère de l’Agriculture, des Ressources Naturelles et du Développement Durable (MARNDR).

Séverine BOUARD (PhD, Université de Montpellier Paul Valery) est géographe à l’Institut agronomique néo-Calédonien. Elle est responsable de l’équipe TERAU (Territoires, acteurs et usages) de l’IAC.

Depuis 2008, sa recherche aborde plus spécifiquement les questions liées aux moyens d’existence ménages ruraux kanak et à l’évolution des politiques de développement durable (articulation entre savoirs locaux, production agricole et création de richesse immatérielle, évaluation et impacts des politiques de développement). Ses activités de recherche récentes se concentrent principalement sur la construction de méthodologies et d’analyses de l’étendue de l’agriculture et des activités de chasse / pêche en pays kanak et dans le Pacifique. Les principales questions soulevées sont : comment les activités agricoles, de pêche et de chasse sont-elles liées à d’autres activités sociales et professionnelles ? Comment les moyens de subsistance des Kanak, et plus largement des populations du Pacifique, s’adaptent aux changements (climatiques, intensification des activités minières, etc.) ? Comment font-ils face aux pressions et maintiennent-ils l’équilibre entre les besoins alimentaires, les revenus et les besoins sociaux des ménages ? De plus, ces résultats sont en permanence réinjectés dans une réflexion plus globale sur les questions de mesure du capital immatériel et de la soutenabilité du développement.

Scientifique de formation en anthropologie juridique, le Dr Tamatoa BAMBRIDGE est directeur de recherche au Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS) travaillant dans un laboratoire de biologie marine à Moorea depuis 2007.
Depuis 1995, il analyse l’expression du pluralisme juridique et culturel dans la gestion foncière et maritime dans le Pacifique.
En 2001, il réalise sa thèse de doctorat sur les revendications foncières dans les îles Australes, puis poursuit sa carrière dans le domaine de l’anthropologie environnementale.
Il a plus de vingt ans d’expérience de recherche sur le terrain dans de nombreux archipels de la Polynésie française. Une grande partie de son travail traite de la propriété foncière et marine enracinée dans ses premiers travaux de terrain sur la terre et la parenté dans les îles Australes.
Le Dr BAMBRIDGE concentre ses travaux actuels sur la gouvernance terrestre et maritime et leurs impacts sur l’adaptation et la résilience, en utilisant des méthodes anthropologique. Son engagement de longue date pour la compréhension de la gestion traditionnelle polynésienne des ressources a conduit à la publication de « The Rāhui » en 2016 (Australian National University Press), « Ocean and commons » en 2022 (Au Vent des îles)
Aujourd’hui spécialiste de Rāhui, il s’intéresse à la gouvernance contemporaine des espaces marins, aux services écosystémiques des récifs coralliens, à la gestion des bassins versants et aux savoirs locaux liés à la biodiversité.
Depuis 2019, il dirige l’équipe interdisciplinaire du Centre Rāhui en Polynésie française. Il supervise les orientations stratégiques du projet et contribue à la formalisation des partenariats opérationnels et financiers. Il coordonne les activités scientifiques menées par l’ensemble de l’équipe et encadre les étudiants, notamment pour la réalisation d’enquêtes en sciences sociales. Il est également impliqué dans les réflexions et la sensibilisation des autorités locales et des collectivités.

En tant qu’anthropologue de l’environnement j’étudie les dynamiques spatiales et temporelles des socio-écosystèmes récifo-coralliens (SES-RC) de Polynésie Française (PF) à l’échelle des bassins versants en appréhendant de façon parallèle les systèmes de production halieutique et agricole. J’envisage les SES-RC comme des systèmes qui, en contribuant à fournir les bases matérielles et immatérielles de la vie en société, sont façonnés par les relations qu’entretiennent humains et entités biologiques vivantes au sein de territoires socialisés. À l’intersection des sciences sociales et des sciences du vivant, mes travaux combinent des approches qualitatives fondées sur une fine ethnographie des pratiques, stratégies et savoirs des utilisateurs primaires des ressources à des approches quantitatives s’appuyant sur des protocoles innovants de sciences participatives. Par le biais d’une démarche transdisciplinaire soucieuse d’agir sur la résilience des SES-RC, je m’intéresse aussi aux dynamiques économiques, sociales, identitaires et culturelles sous-jacentes à la mise en place de dispositifs de gestion des ressources et les manières par lesquelles ces derniers sont appropriés, remaniés ou contestés par la diversité d’acteurs investis dans leur gouvernance.

En collaboration avec des écologues, agronomes et biologistes marins ainsi que des représentants de la société civile je m’attache à créer des ponts entre experts locaux et experts scientifiques afin de co-produire des outils de suivi des ressources et environnement avec un souci de co-concevoir des mécanismes de gestion hybrides répondant aux attentes des populations locales, des décideurs politiques et des scientifiques

Originaire de Futuna, j’ai effectué mes études en Nouvelle-Calédonie (UNC). Diplômé d’un master en anthropologie et d’un autre en aménagement du territoire, j’ai eu l’opportunité d’intégrer le monde de la recherche en collaborant avec des chercheurs de l’Université de la Nouvelle-Calédonie, de l’IRD et de l’IAC, sur des thématiques recoupant la sécurité alimentaire, le changement climatique et les savoirs autochtones.  Après 18 ans, je décide de revenir sur Futuna en 2023. Aujourd’hui j’ai la chance, en intégrant le projet CLIPSSA, de travailler dans la recherche et cette fois-ci, sur mon Fenua.

Détenteur d’un diplôme d’Ingénieur Agronome, ainsi qu’un double diplôme de Master : Sciences de la mer et du Littoral et Développement Agricole Durable et Sécurité Alimentaire, Samson a commencé un contrat doctoral en double tutelle UNC/IRD  dans le cadre du projet CLIPSSA. Sa thèse s’intitule « Enjeux, capacités et vulnérabilités pour faire face au changement climatique. L’apport des savoirs locaux et des échanges de savoirs, de savoir-faire et de savoir-être auprès d’habitants de Nouvelle-Calédonie et du Vanuatu ».

Il est supervisé par Catherine Sabinot, Gilbert David et Christophe Menkes et il est attaché à l’Ecole Doctorale du Pacifique (UNC).

Samson a effectué auparavant un stage au Ministère de la Transition Écologique autour de la thématique : Territoires Maritimes et Littoraux, enjeux et perspectives. Il a travaillé avec bon nombre d’institutions en Haïti dans le cadre de pilotage et d’evaluation de projets relatifs aux pêches maritimes et au renforcement des services publics agricoles. Il a aussi réalisé des activités pédagogiques et de formation en tant qu’enseignant de SVT et d’Agronomie, respectivement au Lycée et le CFA La Bretonnière en France.

Docteure en socio-anthropologie, diplômée du Muséum national d’Histoire naturelle. Maya, a suivi un double cursus en anthropologie et en écologie. Sa thèse de doctorat, en partenariat avec le CIRAD, portait sur la valorisation des produits agricoles dans les pays du Sud : elle a notamment étudié les enjeux socio-économiques et environnementaux de la filière du rooibos, qui est devenu la toute première AOP (Appellation d’origine protégée) d’Afrique du Sud reconnue par l’Europe en 2021.

Après sa thèse, elle a co-fondé deux coopératives de recherche appliquée en sciences humaines et sociales, et a dirigé de nombreuses études et recherches en France et à l’étranger, sur les thèmes des politiques urbaines, de la mobilité, ou encore sur la protection sociale ; elle a ainsi travaillé pour des bailleurs sociaux, des collectivités, des organismes de recherche (IRD, CNRS) et des agences (ADEME, AFD, DARES…).

Sous la direction de Catherine Sabinot, son postdoctorat porte sur l’adaptation au changement climatique des activités productives (agriculture, jardinage) en Polynésie française (terrain sur la presqu’ile de Papeete, à Taravao et Tautira, et Moorea). Il s’agira de décrire les enjeux, les diverses pratiques et ressources des habitant·es qui cultivent des produits alimentaires pour faire face aux aléas climatiques extrêmes mai aussi de définir les facteurs qui permettent ou non de prendre en compte les savoirs locaux dans les politiques publiques d’adaptation au changement climatique.

David est géographe spécialisé en télédétection et systèmes d’information géographique (SIG, dans le projet EOF de l’OIF), avec une expertise pointue en sciences du climat et météorologie. Titulaire d’un Master en Changement Climatique du programme WASCAL et d’un PhD sur les extrêmes climatiques en Afrique de l’Ouest, il modélise les interactions entre phénomènes climatiques et gestion des terres. Ses recherches visent à développer des stratégies adaptatives pour les communautés locales. Auteur d’articles et présentateur à des conférences internationales, il s’engage également dans l’éducation et la sensibilisation aux enjeux climatiques.

Gildas est agronome spécialisé dans la gestion de l’environnement avec une expérience avérée dans les domaines de la météorologie et des sciences climatiques. Après son master obtenu en changement climatique et l’utilisation adaptée des terres du programme WASCAL, Gildas a obtenu son PhD en Meteorology et les Sciences climatiques où il s’est intéressé d’une part à l’influence des changements de l’occupation des sols sur l’énergie de surface et sur les niveaux de condensation ascendante en Afrique de l’Ouest et d’autre part aux conséquences de ces influences sur la production agricole. Ses recherches lui ont permis de développer et de recommander des stratégies d’adaptation pour les communautés locales et les politiques face aux défis climatiques. Auteur de plusieurs articles, conférencier et membre fondateur de l’ONG ‘Green Sustainable World’, Gildas s’investit dans le développement de stratégies pour la sensibilisation, l’adaptation et la résilience face au changement climatique.

En Master 2 en agro-développement international à l’ISTOM à Angers, spécialisation DEV (Développement agricoles, Territoires et Transitions), Marie-Amélie réalise son stage (5 mois d’avril à septembre 2024) au sein de l’UMR Espace-Dev sous la direction de Catherine Sabinot, Maya Leclecrq, Séverine Bouard et Samson Jean-Marie.

Marie-Amélie s’intéresse aux savoirs et savoir-faire des femmes relatifs à l’agriculture et la pêche au Vanuatu et en Polynésie Française dans un contexte d’adaptation face aux impacts des changements climatiques.

L’objectif est de comprendre les voies d’apprentissage et de transmission de ces savoirs par et entre les femmes. Il s’agit également de s’intéresser à l’évolution des savoirs des femmes relatifs aux domaines agricoles et de pêche et tenter de mettre en avant le rôle que jouent les femmes au sein de leur groupes d’appartenances vis-à-vis de ces savoirs.

Luc effectue son stage (6 mois d’avril à septembre 2024) sous la direction de Catherine Sabinot et Samson Jean-Marie. Il suit un master 2 en science politique à Science Po Grenoble, spécialisé dans les transitions écologiques. Il travaille sur « Les origines, la mobilité et la plasticité des savoirs mobilisés sur le littoral calédonien pour faire face à la sécheresse et aux fortes pluies ».

L’objectif de Luc est d’examiner comment les connaissances agricoles locales sont transformées et transmises et comment elles peuvent être utilisées dans les politiques publiques pour s’adapter au changement climatique. Il étudiera en particulier la manière dont les agriculteurs gèrent l’alternance d’El Niño et de La Niña.

Docteur en agro-économie et ingénieur agronome, Benoît FAIVRE-DUPAIGRE coordonne actuellement des programmes de recherche à l’AFD sur la soutenabilité des systèmes agricoles dans le contexte du  changement climatique. Au cours de sa carrière, il a participé à l’accompagnement de pays du Sud, notamment en Afrique, dans la définition de mesures de politiques agricoles et alimentaires. Il a travaillé au ministère français des Affaires étrangères et européennes puis auprès du secrétaire exécutif de l’agence du NEPAD basée en Afrique du Sud et a rejoint l’AFD en 2016 au département des opérations pour le suivi de projets dans le domaine du développement rural et de la biodiversité.

Fleur est géographe-environnement spécialisée sur les questions relatives à l’adaptation aux dérèglements climatiques, la réduction des risques de catastrophes, les villes durables et la préservation de la biodiversité dans les pays en développement et émergents (Afrique, Océan Indien, Pacifique Sud). Elle a travaillé dans des projets de développement à dimension transversale et interdisciplinaire pour des agences publiques de développement, des gouvernements et instituts internationaux et nationaux de recherche.

Jean-Marc CARCY est responsable du service de la Communication, du Commerce et du Numérique à la Direction Interrégionale de Météo-France en Polynésie française. Ingénieur des travaux de la météorologie, il participe aux actions de communication de Météo-france et met en œuvre les programmes d’actions commerciales

Diplômée d’un Master « Gestion de l’Environnement », Aline réalise son stage de mai à octobre 2024. Elle est actuellement étudiante en double Master « Études sur le Genre » de l’Université d’Angers et « Climat et Médias » de l’Université Paris Saclay et de l’École de Journalisme de Lille.

Ses missions principales incluent l’alimentation du site web CLIPSSA, l’assistance à l’équipe de communication institutionnelle de l’IRD et Météo-France pour la rédaction de communiqués de presse et autres documents en lien avec le projet, ainsi que le suivi des sollicitations des médias traditionnels et des manifestations organisées autour du projet CLIPSSA dans les territoires/pays. Elle co-participera également à l’organisation d’événements grand public et scolaires. De plus, elle contribuera au co-développement d’une variété de supports pédagogiques à partir de sources scientifiques, utilisables pour la communication du projet et les actions sur le terrain, en étroite collaboration avec les équipes scientifiques du projet. Elle co-contribue au suivi et à l’opérationnalisation de la feuille de route communication et diffusion des résultats.